vendredi 3 avril 2009
50 apostasies - le diocèse de Québec perd la moitié de ses fidèles
Cela, joint à la récente lettre de l'Abbé Claude Lacaille envoyée au Devoir, et joint aussi à quelques autres féroces réactions de la part de prêtres québécois, me donne l'impression de vivre dans le genre de climat qui précède généralement un schisme. Joseph Ratzinger, alias Benoît XVI, va-t-il continuer de tolérer les écarts de langage de ses acolytes du Québec? On a forcé l'abbé Raymond Gravel, ancien député progressiste du Bloc Québécois, à choisir entre sa carrière de clerc et celle de politicien: il faisait trop de bruit. Ce dernier a abandonné son siège à défaut de vouloir abandonner sa calotte. (Il aurait fallu laisser tomber les deux.) Les autres membres du clergé se plieront-ils à la volonté de l'immaculé Benoît? Ou, dans une action concertée, tenteront-ils de poursuivre leurs actions jusqu'à la dissolution totale du lien qui les unit avec le Vatican? Ce ne serait pas une mauvaise chose, mais il n'y a hélas guère d'espoir. Le pouvoir, même religieux, a souvent son intérêt propre, et finit généralement par faire fi des divergences d'opinion pour s'unifier à nouveau sous la bannière de l'entente, de la paix et de l'exploitation.
Une connaissance qui se trouve à être dans l'armée, m'a réçament enjoint à devenir curé et étudier la théologie.
RépondreSupprimerPt que je pourrais unir tout ce beau monde là?
Un seul problème: comment feras-tu pour te retenir?
RépondreSupprimerJe vais appliquer et aller faire un boulot merdique qui ne requière pas la toge.
RépondreSupprimerMais je dois avouer ressentir un grand vide en moi et ressentir le besoin de donner des messes le dimanche.
Ha ha ha!
RépondreSupprimerPourquoi des messes, quand tu as un blogue pour dispenser la Bonne Nouvelle?
;-)