En me rendant au Cabaret anarchiste, ce soir, j'ai remarqué, comme nos camarades de la Pointe Libertaire, que des antiautoritaires quelconques avaient frappé un grand coup en dressant une bannière en solidarité avec les évadé-e-s de prison. C'est en même temps un très joli message aux mononcles néo-pétainistes qui nous gouvernent: vous aurez beau marginaliser, criminaliser les rebelles, les empêcher de faire quoi que ce soit publiquement, nos quartiers porteront toujours la signature de la contestation.
Et par ailleurs, le cabaret, qui s'est déroulé cette fois-ci à La Belle Époque, un espace politiquement engagé sur la rue Wellington, fut vraiment formidable. Bravo à tous les participant-e-s!
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