On nous colporte, dans la culture populaire, une certaine idée du pauvre: c'est un gros tas qui ne fait rien de sa journée. Or, Statistiques Canada, dans une étude sur l'obésité, affirme que les gros tas sont plus nombreux parmi les riches que parmi les gens des classes inférieures, surtout chez les hommes. Chez les femmes, c'est parmi la classe moyenne qu'on trouve le plus d'obèses. Nous vivons dans une société patriarcale qui en demande beaucoup aux femmes de l'élite, sur le plan de l'apparence.
Le mythe de l'assisté social obèse et grabataire tient moins bien dans mon esprit que celui de l'homme d'affaires, fumeur de cigare, chauffeur de voitures de golf, amorphe et mou.
(Maudit que je suis de mauvaise foi, quand même. Mais c'est tellement délicieux. Ha ha ha ha!)
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