Il est clair que les grandes entreprises oeuvrant au Québec mènent une guerre d'usure contre la syndicalisation. Elles ne veulent pas que les employé-e-s s'organisent et elles sont prêtes à sacrifier momentanément une partie de leurs profits pour installer la peur dans la tête des travailleurs et travailleuses.
Des employé-e-s qui ont peur ne tenteront jamais de s'emparer de leurs droits.
Mais alors que nous sommes en (queue de?) crise économique, il me semble que la colère doit bien gronder dans quelques coeurs. Quand donc comprendrons-nous que nous pouvons faire trembler la terre? Quand donc les patrons commenceront-ils aussi à avoir peur?
J'ajouterais: Fiat justitia ruat coelum.
Très bon point que celui de la peur.
RépondreSupprimerMerci bien.
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