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Fabriquer des preuves, c'est une norme dans la police.
RépondreSupprimerRemarquez que je n'ai visé personne dans mon billet.
RépondreSupprimerCar peu importe qui de la police ou de nos camarades ont mis le feu à la remorque, le bois est quand même gaspillé.
Hum, le billet m'étonne un peu. Non, je ne suis pas pour le gaspillage de ressources, mais est-ce vraiment tout ce qu'on peut trouver à dire sur cette «remorque enflammée»?
RépondreSupprimerAlors que tous les médias nous gavent de cette image incendiaire, la présentant comme l'oeuvre désoeuvrée de jeunes casseurs chaotiques, ne serait-il pas au moins important d'expliquer que, peut-être, dans le contexte, ça ait pu avoir pour objectif de barrer le chemin aux cavaliers blindés du SPVM qui fonçaient dans le monde comme des sauvages?
Bien sûr, il y a une certaine critique à faire du romantisme révolutionnaire et de toute la symbolique de nos gestes de révolte, mais n'empêche.. le gaspillage? Bof. ;)
Sans rancune!
Je comprends tout à fait la motivation de bloquer le chemin. Pour ça, c'était plutôt une bonne idée. Mais on dirait que plusieurs ont une manie de foutre le feu partout. J'en connais qui mettraient le feu à leurs propres barricades, juste par habitude.
RépondreSupprimerUn petit feu n'énerve pas les chevaux (surtout des chevaux dressés en milieu urbain). Un mur de pals, par contre, ça les fait stopper net. Or, les personnes qui ont allumé la remorque ont mis le feu... à des pals. Comprenez mon étonnement.
Notez que je n'ai pas écrit: "Vous avez renversé une remorque, bande de colons." Mais "Vous avez gaspillé du bois, bande de colons." Avec tous les sous-entendus que ça pouvait inclure.