mercredi 26 mai 2010

Les traîtres de Greenpeace.

La gueule m'est tombée quand j'ai vu les gens de Greenpeace s'asseoir avec les capitalistes et leur promettre gentiment de ne plus leur rentrer dedans en échange de miettes. À voir l'enthousiasme généralisé, je commençais à penser que je m'étais peut-être trompé et que j'avais une culture trop radicale, trop confrontationniste pour appuyer ce genre d'entente.

Mais Action Boréale est contre. Depuis que je le sais, je ressens la forte tentation de militer pour cette organisation.

4 commentaires:

  1. Je suppose qu'ils veulent montrer des résultats «concrets» à leurs membres et à la population en général. Probablement meilleur côté campagne de financement, car Greenpeace peut montrer ses «réalisations».

    En partant, je n'aime pas les groupes purement écolos, car ils s'attaquent aux symptômes (problèmes environnementaux) et non pas à la maladie (capitalisme).

    En même temps, le «mouvement» anarchiste est moribond (je trouve) et ça ouvre la porte aux réformistes.

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  2. Finalement, un certain rongeux de balustres avait peut-être raison de quitter cet organisme éco-fasciste.

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  3. Non mais qu'est-ce que vous avez tous et toutes contre Steven Guilbeault? Ok, il est peut-être un peu phony sur les bords, mais quand même pas mal moins que Jean Lemire. Et à ma connaissance, il a fait du mal à pas mal moins de gens que le plus insignifiant des militant-e-s conservateurs/trices.

    Et puis je ne pense pas qu'il y ait vraiment beaucoup d'éco-fascistes en ce monde. Peut-être les gens de Sea Shepherds ou de PETA, mais ces deux derniers organismes ne sont pas à proprement dit écolos.

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  4. Greenpeace avait d'ailleurs rejeté un de ces membres fondateurs (Paul Watson) car il était jugé trop radical pour eux. On a récemment fait un film sur l'individu en question. Je ne l'ai pas encore vu, vous m'en donnerez des nouvelles.
    http://www.artistsconfederacy.com/pirateforthesea/

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